La #gauche vite !, programme en dix points.

On me dit souvent, Jean-François vous avez du bon sens, comment sauver la France ? Comment remplacer à gauche la France insoumise essoufflée. Voici mes propositions en dix points ;

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1) Réapprendre le débat démocratique. Arrêter de parler de fiel lorque ‘on n’est ppas d’accord avec vous

2) lancer des assises des trois gauches ( sociale démocrate (PS PCf, FI) gauchiste ( NPA LO, dissidents communistes etc) et non autoritaires ( anarchistes totoïdes etc )

3° discuter.

4 ) tenter de déterminer les quelques trucs pour lesquels on est et surtout les trucs contre lesquels on est.

5) demander qu’une délégation (avec Hamon, Mélenchon,  des anciens dirigeants de l’Unef, Frédéric Haziza et les chefs d’EELV Lille et un anarchiste old school ) rencontre Macron.

6) l’anar dit qu’il va aux toilette pendant que Hamon, Mélenchon et Macron discutent. et laisse son sac à dos sous sa chaise.

7) boum et de tous ces personnages il n’en est rien resté.

8) l’anar est élu président.

9) il dissout la France, Valérie de saint do qui était ministre de la culture et du vacarme épouse Orelsan et mets trois doigts à Christine Boutin qu’on avait oubliée. Celle ci épouse miss HH.

10 ) les cendres de Jean-François Garsmeur dit  » le prophète du chaos » sont dispersé sur le site de l’usine Palikao.

 

Je n’ai aimé que toi

 

.Seuls ceux qui luttent savent

La mauvaise habitude, fruit de ma mal educacion, de défendre le faible contre le fort tu m’as souvent prédit qu’elle me portera tort. Tu avais raison. une chose est de jouer les don Quichotte chez les bobos,une autre chose est de le faire dans les milieux que je fréquente aujourd’hui.

Si je meurs aujourd’hui ou demain ou dans les semaines, je voudrais que tu dises à ma fille que je suis mort avec son nom sur les lèvres, quand elle sera assez grande pour comprendre cela. Je te fais confiance pour mentir avec détermination et véracité.

Mais je voulais aussi que tu saches la vérité : je mourrai en te hurlant. J’ai toujours su que tu serais ma dernière histoire d’amour, et cela m’a serré le coeur la première fois que je t’ai contemplée dans la vérité radieuse de ton plaisir; la certitude que je serai vieux avant que tu sois mûre et que je serai mort quand tu seras encore belle, que je quitterai la vie en te regrettant ; et chaque fois où tu t’es éloignée de moi je vivais, en petit, cette mort annoncée.

J’aimerais que tu relises ce mail par hasard, tu l’auras oublié, alors que tu voudras supprimer des messages inutiles et que ma disparition sera déjà ancienne, je voudrais que tu revois mon visage d’un jour où tu m’as trouvé beau et que tu lises sur mes lèvres ces mots que tu ne veux plus entendre : « je n’ai aimé que toi », depuis le jour où tu m’as embrassé devant le palais des Beaux Arts, depuis cette seconde même jusqu’à l’ultime seconde qui aura vu s’éteindre mon dernier battement de cœur, je voudrais que tu sois seule et nue que tu touches ces mots, que tu les respires, que tu les fasses rouler dans ta bouche, que tu les avales que tu les sentes dans ton ventre dans ton sexe contre tes fesses sur tes seins sur ta nuque, à cet endroit doux de ta peau que je préférais entre tous, à la limite de la racine des cheveux et de ton cou de cygne que ces mots se tatouent dans ton corps puisque tu ne peux plus les entendre, puisque contre toute logique le zèbre et la panthère ne peuvent plus boire ensemble, puisque que la soleil et le lune ne peuvent plus se voir, puisque le printemps et l’automne ne peuvent plus se rencontrer, puisque j’ai subi l’ablation de mes seins et de ma chatte, puisque c’est la moitié d’un homme que l’on aura incinéré.

Je voudrais que ces six mots banal, ces deux pronoms entrelacés autour d’un verbe du premier groupe à l’indicatif du passé dans une forme semi négative : je n’ai aimé que toi, coulent dans ton sang comme un anticorps je voudrais que parfois, sous l’effet de la fatigue ou quand tu entendras chanter « noone else but you » ces mots te remontent à la gorge que tu sentes leur goût salé par les larmes que je verse en les écrivant, et que tu les prononces pour le plaisir de les entendre, et la joie de celui qui t’écoutera sans savoir qu’ils ne sont que pour toi, que celui qui les a inventés, pour la première fois depuis que l’homme a créé le verbe, n’écrivait que pour toi, une nuit de juin, sachant que tu les lirais distraitement, happée par des tâches et des plaisirs, la tête emplie d’autre mots plus faciles à entendre, de promesse plus faciles à attendre, de complicités plus fortes, de projets plus réalistes, de bonheurs plus discrets et plus fréquents aussi.

Le temps que tu prononces ces mots je n’ai aimé que toi, tu retrouveras cette illusion d’avoir été unique, d’avoir été choisie, d’avoir été le but du voyage, l’objet de la quête, le fruit de la fleur, tu te 1825282-774a34souviendras de ces jours et de ces nuits, de ces matins et de ces soirs, où le cœur engourdi et le corps battant, tu te croyais la première femme heureuse, comme si l’univers n’avait existé que pour ces moments là, où chaque atome de ton être était un mot d’amour.

Mais à peine ses mots s’éteindront sur tes lèvres que tu revivras ces soirs où la vie te semblait une ennemie, ces journées à attendre, ces nuits à attendre, ces années à attendre. A peine auras tu retrouvé la sensation de mon sexe sous tes doigts, que tu te souviendras des moments où tu aurais voulu que tes doigts soient des lames. A peine auras tu revécu la caresse de ma main sur ta nuque, tu te souviendras que cette main a touché d’autres peaux douces, que cette bouche qui murmura ces mots je n’ai aimé que toi en a crié d’autres, que ces yeux, qui t’ont si souvent reflétée jouissant, t’ont fait souvent peur, que cette présence qu’aujourd’hui parfois tu regrettes t’a souvent semblé si lourde, que cette absence que la mort a créée était si souvent présente de mon vivant.

Alors tu te réjouiras que plus jamais tu ne seras tentée de revivre de nouveau ses secondes si cher payées, tu te diras que parfois la mort fait le travail que les vivants n’osent pas.

D’autres fois regardant un corps d’homme encore plus lourd, marchant d’un pas encore moins vif, tu étoufferas les remords, les regrets et les angoisse en pensant qu’autrefois un homme qui savait tout de toi t’as dit calmement je n’ai aimé que toi

Et si un jour un maladroit, un importun qui croira m’avoir connu te dira combien j’aimais l’humanité, la justice, la vérité, les combats, tu lui répondras, indifférente et polie, d’une voix assurée et sereine « il n’a aimé que moi« 

La vorace et le coriace #besson Fail Un mail perso apparait dans mon blog

je t’écris d’un cyber café. Tu as cassé mon portable. Voici que tu mettras en moins dans la liste de dettes. Je peux te le dire, en effet : j’ai l’intention de te payer tout ce que estimeras du. Je refuse de signer une reconnaissance de dette injuste, je te ferai une proposition dès que je pourrai utiliser un ordi sans le payer à l’heure.
Cet ordi cassé est encore un exemple de tout ce que je subis depuis 8 ans ; les projets vers lesquels je m’acharne et les embûches, les crocs en jambe que tu traces sous mes pas. La liste serait trop longue, tu la connais.
Contrairement à R., tu me m’as jamais connu entreprenant, gagnant de l’argent, proposant des activités. As tu réfléchi que cette assertion pouvait se retourner contre toi ?
En 2002-2003, alors que je tentais encore de sauver mon activité de journaliste, tu m’as fait subir tout ce qu’une taspé peut inventer pour énerver un homme.
Quelques exemples

  • Tu me demandes de ne pas parler de notre relation, mais tu me caches que tu as vécu avec G., le frère d’un de mes amis de l’époque.
  • Tu prétends ne vouloir voir personne, dont moi , fin août,  et- je découvre qu’un homme dont tu me dis que c’est un ex amant dort chez toi. ( tu referas exactement la même chose l’an suivant).
  • tu me dis que tu es trop malade pour sortir un week-end, je tombe sur toi avec ton “ex” au marché de wzm.
  • Une fois tu te sépares de moi parce que j’ai les cheveux trop court. Le week-end suivant tu vas à une fête chez A. B., où des photos te montrent dansant avec ton ex.
  • Comme je m’indigne de tes mensonges, tu prétends à ton ex que je te reproches de le voir.
  • On va à la Malterie. Tu me demandes d’agir comme si on n’étais pas ensemble. Du coup je vois que tu discutes pendant une heure avec deux mecs. Au bout de ce laps de temps je m’approche. Tu ne me présentes pas, limite, tu me tournes le dos. Les deux types partent et l’un d’eux (alors le compagnon d’une amie à toi) revient, il est étudiant en médecine et te dit N2 voudrait que tu viennes boire un verre. La drague est évidente. Au lieu de répondre simplement, en me présentant comme ton “ami”  tu prétends être fatiguée, et tu propose avec enthousiasme un autre verre.
  • Un autre fois à la Malterie nous sommes là avec N. , le frère de ton ex, et A. la femme de celui-ci. Il y a des tensions dans leur couple, pas dans le notre , officiellement. Un moment, A. , une de ses copine et toi disparaissez avec les deux types, dont N2 et un troisième étudiant en médecine. C’est clairement une soirée drague qui se prépare. Grâce à N. j’apprends que vous êtes à Pain et VIN . N. me dit “ J. de toutes façons, elle est en train de tourner la page”. Je suis étonnée, tu ne m’en a pas parlé. Vous êtes dans un coin sombre de la cave à Pain et vins. Quand tu me vois tu te lèves, et on s’en va, tu me dis je me suis fait chier, ils sont vraiment bête, à part l’ami de mon amie qui veut être pys, N2 veut être anesthésiste, c’est un boulot de con.
  • Le Ddo organise une soirée au Clair obscur, un café littéraire. Là tu me demandes de ne pas te parler, de te laisser toute la soiréee tu dois parler aux invité. Tu parles avec E. Peintre plagiaire, grand bel homme et dragueur invétéré, pendant une heure. un moment je parviens à te parler, je te dis que tu exagères. Tu prétends qu’E ne te drague pas. Finalement, sur mes instances tu le laisse, il parle à M.C. et le soir même quitte sa compagne pour commencer à vivre avec M.C. Piquée au vif, tu me diras ensuite qu’E. t’avais proposé d’aller au resto, etq qu’il avait passé une heure à te draguer.
  • Tu m’as expliqué que tu devais parler à E. parce que tu l’avais interviewé, à la demande de N., alors rédacteur en chef du ddo. N. me dit au contraire que TU avais insisté pour interviewer E.
  • Le soir même tout le monde va à l’illustration. Tu discutes pendant une heure avec un mec bourré, qui t”invite au restaurant. Tu acceptes, sans me le dire, sans parler de moi.
  • Un ami revenu d’Allemagne me demande “que ce se passe t-il entre N. et sa femme.? je dis il l’a tabassée. Tu t’empresses d’aller répéter la phrase ( qui est vraie) à N.
  • Tu pars en vacance avec tes parents aux Antilles. Tu ne me laisse pas les clés de ton appart alors que tu sais que je vis dans un apppart sans électricité.
  • Avant ton départ je te demande de m’écrire une lettre pour me faire comprendre tes sentiments à mon égard ( vus les incidents cités plus haut. Tu m’envoies une carte avec 3 mots.
  • Du coup, quand tu reviens, je te dis que je ne t’aime plus, au café le Clair Obscur. . Je voulais entamer une discussion tu me quittes aussitôt.
  • le week end après, tu couche avec N2. Tu affirmes que c’est fortuit.
  • Il te largue après avoir couché avec toi, tu le croisera quelques temps plus tard avec une fille qui a dix ans de moins que toi. Il t’offre un disque de Texas.
  • Tu entames une relation épistolaire avec un dépressif qui s’est déclaré amoureux de toi, tu sors avec lui. ( en tout bien, tout honneur… selon toi).
  • je ne supports plus que nous soyons séparés. Je viens te voir, tu n’es pas là tu ne reviens que vers minuit : tu as passé un week end au Touquet avec ton ex.  ( en tout bien, tout honneur… selon toi).
  • Une autre fois il passe la nuit chez toi. Tu affirmes qu’il a dormi en bas sur le canapé, je trouve de mon côté du lit “conjugal” un livre sans image qui lui appartient tu prétend l’avoir lu ! ( toi !)

je suis seulement arrivé à 7 ou 8 mois de “vie commune !