Flic retraité, ni oublié ni pardonné

Il parait que la mortalité est accrue l’année après la retraite ( c’est pas aussi simple). Il paraît aussi que l’espérance de vie des keufs est bien supérieure à celle des ouvriers, alors qu’on en fait tout un sac quand meurt un flic. Foutre. J’apprends que le chef des RG manifs,

Philippe Deschodt

a fait une teuf pour son départ à la retraite et il ne m’a pas invité, moi qui ait passé plus de temps à le défier du regard que la personne qui partage sa vie à subir ses caresses malodorantes ou à réchauffé son bœuf carottes.

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Quand je pense au mal qu’on s’est donné pour les photographier en loucedé au péril de notre iphone neuf et la Voix étale en grand la photo de lui et sa bande d’éjaculateur précoce tabasseurs de femmes. Quand ils me voient dans une manif,  ces orques sans idées, il me sourient d’un air OK corral et appelle pour qu’on envoie un car de bas du front supplémentaire. bande de cognes,, c’est comme jeter une bûche dans l’incendie de mes tripes pour l’éteindre. Bilto les connaît mieux que moi parce qu’il n’a pas couru assez vite, ou assez tout le jour de la fameuse manif, où on s’est retrouvés dans une rue déserte d’un quartier populaire et qu’il se sont mis à taper comme des malades sur des ado et des vieillards. Pas le vieillard que je suis remarque, qui court comme un serval sans rate, et qui a dû consoler une meuf  aux cheveux improbables,devant le Match de Victor Hugo vu que que son compagnon avait aussi été chopé.

Il faut reconnaître à PD un certain courage physique. il restait là, massif comme une motte de beurre à 50 cm de gars masqué qui lui hurlaient dessus. Mais c’était aussi une crapule. Ses rapports, j ‘en suis sûr pourraient concourir pour la pire œuvre de fiction policière du Quai des orfèvres. tiens il me dégoûte tellement que j’ai pas envie de relire l’article, poicre, pour savoir s’il compte écrire des polars racistes ou juste chasser pêcher et faire des barbecues. On s’en fout foutredieu. Ces rapports il devait les bidonner, parce que s’il accomplissait bien son travail en protégeant le repaire de faf et de capitaliste qu’est devenu le Vieux Lille, il lui arrivait souvent de chercher à provoquer l’affrontement en créant de situations conflictuelles en séparant les déters des socedem, en balançant sa garde à cheval de spécistes sanguinaires, ou juste en exhibant sa gueule d’ancien para ( oui je sais Monique il n’a pas été para c’est une métaphore). Du coup je rend hommage aux « abrutis de toute à l’heure qui un jour ne l’ont pas été et du coup on a pu boire un coup avec une factrice d’archet et des potes sans devoir étancher de sang sur nos fronts.

sa retraite lui évitera d’être pendu avec les tripes du dernier boucher sauf si on trouve l’adresse du mas du Lubéron ou il va jouir ( enfin !) des sommes exorbitants que lui ont versée une bourgeoise au abois via l’État chien de garde.

En vrai j’ai rien contre ce minable valet de Bolloré/Bettancourt/Dassault quand on fait un sale métier faut le faire salement. Si ça trouve on fait un leechi et on le paye pour nous donner ses trucs de vieux fennec du désert. Juste pour dire que plus ils sont cruels, équipés et  malins en face plus il faut apprendre l’Art de la guerre plutôt que de faire les gugusses en short dans un squat a taper sur des sacs de sable qui t’ont rien fait, bande de bougres de jeunes de musque de drogue de bande de jeune de musique de drogue. et le remplaçant qu’il ait une chemise violette ou joue les shérif on lui fait sa Brtith Milath ou Khitan de bienvenue à la prochaine occasion, sang dieu.

ya des jour où je me dis que j’aurais du payer mon avocat avant d’acheter un iphone à une fille ingrate, et e me demande si l’injure à policier ça tient après la retraite, et que j’aurais du lire l’article d’AD(G?) jusque au bout, si ça se trouve il par le 31 décembre et s’il ya une vie après la mort est ce qu’on pourra y trouver une bibliothèque ouverte toute la nuit.

Take care, ils savent vous reconnaître derrière une écharpe.

 

P.S. j’apprends un peu tard que le flic en chef de la Voix a chasse désormais en compagne de Philippe Deschodt. Ça fait plaisir Mais il été remplacé par un keum que je connais pas sinon que son nom signifie mauvaise terre (arable) et qu’il a fait la même école que moi. La bonne nouvelle c’est que je n’ai rien lu de romophobe sous sa signature, mais bon, c’est quand qu’ils nomment une flque en chef

 

PPS la voix du mort me doit au moins un accès prémium pour tout le badbuzz que je leur fais par icelle.

PPPS hormis la racaille argousine, je demande pardon à celleux que j’ai pu blesser dans ce texte, à cause du fait que c’est une sorte de parodie d’Emile Pouget et des premiers Pieds nickeés, les amiches !1

 

 

 

http://www.lavoixdunord.fr/250513/article/2017-10-22/philippe-deschodt-le-monsieur-manifs-de-la-police-lilloise-dit-adieu-aux-paves#_=_

http://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1978_num_33_3_16778

1Pas d’offense non plus les gars.

#ACAB : Johnny, 27 ans dans le coma après une intervention policière à #Lille

Voici un communiqué du Crime (Contre la répression des individus et les mouvements d’émancipation). Pour comprendre : cela se passe dans une enclave d’HLM

Fuck Cops = Nique la police

en lisière du Vieux-Lille qui est un peu Le Marais lillois.

 

Salut à toutes et à tous,
Voici ce qui s’est passé ce mercredi 10 mai dans le Vieux-Lille. On vous tient au courant des suites.
—————————————————-
Intervention de la police : un animateur dans le coma
10 mai. 14h 45. Vieux Lille.
Des jeunes font des allers-retours en motocross sur la plaine Winston Churchill. Churchill, c’est le nom de la résidence de 8 tours et de 400 foyers située à la périphérie nord du Vieux Lille. Là où vivait Hakim Djellassi, tué en toute impunité après son passage dans un fourgon de police en 2009. C’est là aussi où est retrouvé, ce mercredi 10 mai, Johnny, inanimé, la tête ensanglantée, suite à une intervention des forces de l’ordre. Johnny est toujours dans le coma à l’heure où l’on écrit ces lignes. Accident ? Violences policières ?
On est allés à la rencontre des habitant.es du quartier pour comprendre ce qu’il s’est passé.

Chaque jour ici, les jeunes subissent humiliations et contrôles policiers.«Les keufs nous balancent souvent des  »vous inquiétez pas, on va bientôt débarquer et on vous aura tous »» nous résume-t-on. C’est que la cité dérange dans ce paysage en cours de revitalisation du Vieux-Lille. Ici sera implanté le palais de justice flambant neuf à l’horizon 2021.

Pour l’instant, les résidences Churchill, Pont-Neuf et La Poterne sont les derniers endroits populaires résistants encore à l’embourgeoisement du Vieux-Lille.
Ce n’est donc pas un hasard si la police et surtout les BST [1] viennent « sécuriser » le territoire, ou plus clairement, harceler et stigmatiser la population.
14h45, ce 10 mai, les keufs débarquent, bloquent les rues, et contrôlent illico, tasers et flingues à la main. Bac, motards, camion-béliers, gendarmes.
Du monde. Beaucoup de monde. Du lourd pour seulement deux motocross circulant sur la plaine…
La scène est confuse, tout va très vite, une motocross est saisie rue Paul Ramadier, tandis qu’une autre prend la fuite à travers la plaine.
« Les flics braquaient tout le monde avec des guns » nous confie un jeune. Les renforts policiers sont appelés : contrôles, fouilles, pressions, etc.
Quinze minutes plus tard, Johnny, le conducteur de la motocross en fuite, est retrouvé inanimé à l’angle de la rue du Pont Neuf et de la rue de Gand.
Johnny alias « Baguette » a 27 ans et travaille dans le quartier comme animateur. Il est descendu de chez lui au moment de l’arrivée des premiers fourgons.
On nous raconte : un jeune était en train de pousser l’une des motocross, Johnny la récupère, démarre, et file en voyant la police le poursuivre.
Au talkie, un flic indique à ses collègues la direction prise par la motocross. Peu après, un autre balance aux jeunes avec cynisme « vot’ pote là, il s’est bien crashé la gueule ! ».
Personne n’y croit vraiment à ce moment-là, mais toutes les voitures de police se dirigent alors vers le lieu indiqué.
Que s’est-il passé ? Pour l’instant, peu d’éléments ont été fournis. Le conducteur aurait perdu le contrôle de la motocross alors qu’il sortait de la plaine.
C’est en tout cas la version de la police que s’empresse de relayer la Voix du Nord sur son site internet.
« Un véhicule des forces de l’ordre passant alors rue de Gand, avait trouvé le jeune homme inanimé et en sang, à côté d’une seconde moto-cross ».
Et plus loin : « Déséquilibré par une série de terre-pleins, le motard a perdu le contrôle de son engin, et a violemment percuté un mur d’enceinte ».
Pour la VDN, le conditionnel est en option et la police… hors de tout soupçon.
À ceci près que « Johnny savait conduire une motocross, et ces deux ou trois bordures, la moto les passe tranquille » assurent les jeunes.
Très vite, le bruit court que la voiture de police a percuté la motocross pour la déstabiliser.
Un flic lance à une personne présente sur les lieux du crash : « Viens voir sur la voiture, y’a rien, tu vois ».

Ce qui est étrange, c’est que les prostituées du secteur assurent tout d’abord aux jeunes avoir vu la voiture percuter la motocross.

Traiter les flics de porcs est insultant pour les porcs
Mais, dès le lendemain, elles se rétractent et affirment que Johnny aurait perdu le contrôle.
Une procédure judiciaire est enclenchée en moins de 24 heures à l’initiative de la famille, des soutiens et de Maître Regley afin de demander à avoir accès aux motocross saisies et à toutes les caméras du quartier, notamment celles de la caserne militaire à proximité qui pointent vers le lieu de l’incident.
Vaudrait mieux pour les bleus que les caméras corroborent leur version. En attendant, la famille et les habitant.es sont déterminé.es à connaître la vérité.
Histoire à suivre !
La Brique et le CRIME (Contre la répression des individus et les mouvements d’émancipation)
[1] Brigades Spécialisées de Terrain créées en 2010 par Hortefeux,
anciennement UTeQ.

Re-tuer Jaurès, chronique de la répression en Alès

Je reproduis un communiqué de Carapace qui organise ce jeudi le soutien à un manifestant qui porte la casquette pour une critique un peu vive de la police.

> Rassemblement de soutien
>>> Nîmes – Jeudi 11 mai – 8h
>>> Devant le tribunal (Boulevard des Arènes)
>>> Départ d’Alès en co-voiturage, à la Bourse du travail, à 6h45

Du 9 mars au 15 septembre 2016, des manifestations et autres actions
déterminées sont menées contre la loi travail. Dès le début du mouvement
social, l’Etat use de la violence pour casser les blocages et disperser
les manifestations. La détermination de l’Etat à ne pas laisser le
mouvement se développer est particulièrement forte dès les premières
actions. Les blessés et interpellés sont nombreux, rien d’étonnant au vu
des moyens dont disposent les flics (matraques, flashballs, gaz,
grenades, etc…). Au niveau national, ce sont des milliers de personnes
arrêtées, dont certaines écopent de peines de prison ferme ou avec
sursis, d’autres se voient soumises à des “peines alternatives” (Travail
d’Intéret Général, assignation à résidence, interdiction de manif ou
de séjour…).
Rien que sur Alès, 4 personnes sont interpellées le 23 avril suite à un
collage d’affiches. Lors de la manifestation du 17 mai, une action de
blocage de la sous-préfecture a été réalisée par plusieurs centaines de
personnes dont deux sont arrêtées quelques jours plus tard. L’un d’eux
est un collégien, convoqué pour jet de projectile. La deuxième personne,
accusée d’avoir cadenassé le portail lors du blocage, est condamnée à
280 heures de TIG. Durant la manifestation du 19 mai, deux personnes ont
le bras cassé dans une tentative d’interpellation de la BAC et de la
police nationale. Le 26 juin, ne trouvant pas d’autre prétexte, les
flics embarquent un manifestant pour un jet de pétard, il sera condamné
à 3 mois de sursis, 250 € de dommages et intérêts et 350 € de frais de
justice.
Au niveau national, le 15 septembre, dernière journée de mobilisation
contre la loi travail, est particulièrement encadré par la flicaille,
l’Etat voulant mettre un terme au mouvement social et surtout empêcher
sa reprise. Ce jour-là, à la fin de la manif à Alès, une partie du
cortège se dirige vers le lycée JBD pour aller soutenir les lycéens qui
veulent tenter de bloquer leur bahut. Comme tout au long de la manif,
les flics nombreux devancent les manifestants. Gazeuses et flashballs en
mains, les keufs démontent violemment la barricade qui tente de
s’ériger. Dans la cohue, un pavé est lancé face à ces provocations. Pour
les flics, il fallait un coupable. Une casquette trouvée dans un sac
crée la preuve idéale. Malgré les multiples caméras utilisées par les
flics ce jour-là, le moment où le pavé est jeté disparaît
miraculeusement des bandes. Le parquet décide de poursuivre le camarade
à la casquette.

Le 11 mai 2017, ce compagnon passe en procès en appel. Accusé de jet de
projectile sur les “forces de l’ordre”, il est relaxé en première
instance mais dans la foulée, le parquet fait appel de cette décision,
comme on pouvait s’y attendre. Après l’avoir soutenu lors de son premier
procès, nous entendons bien confirmer notre solidarité devant le
tribunal de Nîmes, le jeudi 11 mai.
L’utilisation de cette violence “légale” a pour objectif de faire peur,
de briser toute résistance à notre exploitation et de miner nos
capacités d’offensive. Il nous importe d’affirmer notre solidarité aux
personnes touchées par la répression sans tomber dans le piège de
l’innocence et de la culpabilité. N’oublions pas que la police nous
contrôle et nous humilie tous les jours, que la justice a pour but le
maintien de notre exploitation. La répression est indispensable aux
bourgeois et à nos gouvernants pour le maintien de leurs intérêts. Nous
subissons tous les jours l’exploitation et la domination, la répression
ne s’arrête pas en fin de manifestation, elle se poursuit au quotidien.
Des mobilisations ont eu lieu, notamment suite à l’agression de Théo à
Aulnay, la mort de Rémi au Testet, celle d’Adama dans le Val-d’Oise ou
celles de Zyed et Bouna à Clichy-sous-bois. À nous de les développer
face aux violences et à la répression policière. Il est important de se
défendre collectivement, d’affirmer notre solidarité, de ne pas laisser
de personnes isolées face à la police et à la justice.
Une attaque contre l’un d’entre nous, c’est une attaque contre tous !
Liberté pour tous !

> Carapace (Collectif Anti-Répression, Anti-Prison à Alès, Cévennes et
> Environs) est un collectif d’auto-défense, ouvert à tous et toutes,
> pour résister à la police, la justice et l’enfermement. Il a pour
> objectif de développer la solidarité et des outils de lutte afin de
> briser l’isolement et de construire des rapports de force face à la
> répression.
> Pour nous contacter, rencontrer…: carapace30@riseup.net

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1944- 2014 #ACAB Joyeux anniversaire à nos glorieux #CRS

Le 8 décembre 1944 étaient crééss les Compagnies républicaines de sécurité. Une partie des recrues étaient des FTP communistes. Par la suite,  Jules Moch, ministre de l’Intérieur SFIO les remplaça par des éléments plus fiables pour disperser les manifs de la CGT !  Pour marquer cet anniversaire, quelques chansons qui parlent de l’utilisation de la police dans la politique et quelques affiches de mai 68 .




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1954 Mouloudji Le Politique ( chanson de Boris Vian)

Je me moque de menaces

Je me moque de vos coups

Le soleil vient à sept heures
M’éveiller dans mon cachot

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1972 Gilles Servat les Prolétaires

Hitler le disait déjà :
« Un chômeur c’est pas rentable.
Un soldat, ça coûte moins cher.
Et c’est bien plus raisonnable. »
Mais de tous ces policiers,
Qu’est-ce qu’on va en faire ?
Mais de tous ces policiers,
Qu’est-ce qu’on va en faire ?
Ils s’en iront à la ville, tra la la la lair,
Taper sur les ouvriers,
Taper sur leurs frères.

1974 Jacqueline Danno  Il est 5 heures ( version Pour en finir avec le travail)

Les blousons noirs sont à l’affut
Lance-pierr’s contre lacrymogènes
Les flics tombent morts aux coins des rues
Nos petites filles deviennent des reines

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1980 Trust Le Mitard

Il tourne, il tourne, et tournera toujours,
MESRINE
Jusqu’au jour où vaincu en animal blessé
MESRINE
Il tombera à terre et se laissera crever.

68 juifs et allemands

1984 Les Cadavres Salopes de keuf

La loi justifie la brutalité

1991 Chanson + bifluorée Petit Pasqua Noél

« Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si nous pouvons charger
Et puis matraquer tous ces jeunes en grève
Que nous t’avions commandés »

CRS-blesse

Le Livre du Samedi – Maintien de l’ordre : enquète/ David Dufresne –

Quartiers libres

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« La France, pays de manifs et de contestation, est passée maître dans l’art du maintien de l’ordre. Toutes les polices du monde viennent y étudier ses tactiques et ses techniques. Émeutes des banlieues 2005 et fronde anti-CPE 2006 furent deux cas d’école de cette excellence affichée et souvent justifiée. Pourtant, derrière ce savoir-faire se nichent des zones d’ombres, des guerres

Voir l’article original 108 mots de plus

Opération de grande contrôle de police européen contre les migrations, avec Frontex et Europol

message pour les sans papiers et leurs soutiens 
il y aura une opération de grande contrôle de police européen contre les migration, avec Frontex et Europol. qui aura lieu du 13 au 26 octobre 2014, intitulée «Mos maiorum » (ils n’ont pas  á avoir besoin de cacher ce qu’ils veulent …)
Elle a lieu tous les six mois et elle est  menée par le membre de l’UE qui dirige actuellement le Conseil de l’UE (Italie)
Cette fois-ci elle sera  sur toutes les routes de la migration au sein de l’UE tous les aéroports, gares ferroviaires ,les autoroutes et autres « point chaud »
Faites passer le message et faites le traduire dans toutes les langues et laisser savoir a tout les gens le danger pour qu ils  évitent les gares  et d’autres points chauds  ou il y aura des contrôles
Faite attention!
Pour plus d’informations dans les pdf-liens

document officiel raconter l’opération
http://www.statewatch.org/news/2014/sep/eu-conseil-2014-07-10-11671-mos-maioum-jpo.pdf

there will be a european wide police-control operation against migration, with frontex and europol.
taking place the 13th – 26th october 2014, named “Mos Maiorum” (they don’t need to hide what they want…)

this takes place every half a year and ist leaded by the eu-member who is currently leading the eu-council (italy)
this time it will concern all routes of migration within the eu all airports, trainstations, highways and other “hot spot”

tell everybody, translate in all languages and let people in danger know to avoid train-stations and other hot spots of control – take care!

find more information in the pdf-links official document telling about the operation
http://www.statewatch.org/news/2014/sep/eu-council-2014-07-10-11671-mos-maioum-jpo.pdf

press release by greec police of the operation this spring, call “AERODROMOS” and only concerning airports
http://www.astynomia.gr/index.php?option=ozo_content&lang=%27..%27&perform=view&id=41592&Itemid=1308&lang=EN

article in english about joint police operationshttp://database.statewatch.org/article.asp?aid=33158
article in german about this operationhttp://www.heise.de/tp/artikel/42/42375/1.html

document in german from the german bundestag with a lot of information about passed joint police operations:http://dipbt.bundestag.de/dip21/btd/17/070/1707018.pdf

maybe it would be possible to connect and take action against that?

Italien plant zweiwöchige Polizeioperation gegen Migranten in der gesamten EU

Matthias Monroy 28.07.2014

Vom 16. bis 23. Oktober werden an Bahnhöfen, Autobahnen oder Flughäfen « Schwerpunktfahndungsmaßnahmen » durchgeführt. Mehrere Tausend Polizisten sind im Einsatz

Die italienische Regierung bereitet eine großangelegte Polizeioperation für das gesamte Gebiet der Europäischen Union vor. Damit knüpft Italien an frühere, ähnliche Maßnahmen anderer Länder an. Auf diese Weise fahnden die Polizeibehörden an Verkehrsknotenpunkten nach Migranten ohne Aufenthaltserlaubnis. Solche « Gemeinsamen Polizeioperationen » (« Joint Police Operations ») werden gewöhnlich von jeder der halbjährlich wechselnden EU-Präsidentschaften organisiert. Lediglich Griechenland hatte in seinem kürzlichen endenden EU-Vorsitz keine Operation durchgeführt.

Die EU-weiten Kontrollen sollen die Polizeibehörden der Mitgliedstaaten miteinander vernetzen, um effektiver gegen unerwünschte Migration vorzugehen. Sie werden von der Ratsarbeitsgruppe « Strafverfolgung » vorbereitet und ausgewertet (Ende der Freizügigkeit im Schengen-Raum). Der jeweilige Vorsitz richtet eine « Koordinierungseinheit » ein, für Aufgaben und operative Einzelheiten zuständig und diese in einem Einsatzplan fixiert. Nun sollen die Mitgliedstaaten anzeigen, ob und in welchem Umfang sie an der Operation im Oktober teilnehmen wollen. Während frühere « Gemeinsame Polizeioperationen » lediglich um die fünf Tage dauerten, sind es unter italienischer Leitung schon zwei Wochen.

Die Vorbereitungsgruppe ist auch für die Wahl des Titels verantwortlich: « MOS MAIORUM » führt wie frühere Operationen einen Namen aus der Geschichte und bedeutet übersetzt etwa « Die Sitten der Ahnen ». Der Terminus meinte die unbedingte Einhaltung von Recht und Ordnung durch die Bürger, damit das alte Rom zur Weltmacht aufsteigen konnte. Das antike « MOS MAIORUM » schloss auch religiösen und militärischen Gehorsam ein.

Aus dem Bericht über die « Gemeinsame Polizeioperation » PERKŪNAS.

« Schwerpunktfahndungsmaßnahmen » ergänzen « Alltagsorganisation »

Kontrollen finden gewöhnlich an Bahnhöfen, Autobahnen oder Flughäfen statt. Insgesamt sind mehrere Tausend Polizisten beteiligt, nicht alle jedoch in den « Schwerpunktfahndungsmaßnahmen » sondern im Regelbetrieb. Zu dieser « allgemeinen täglichen Dienstausübung » gehört die Überwachung von Hauptverkehrsrouten. Neu ist, dass nicht nur an den Binnengrenzen kontrolliert werden soll: In der zweiwöchigen Operation « MOS MAIORUM » werden erstmals auch die EU-Außengrenzen einbezogen.

Frühere « Gemeinsame Polizeioperationen » waren etwa « MITRAS », « HERMES » oder « PERKŪNAS », wo in Deutschland jeweils um die 1.900 Menschen ohne gültige Papiere festgestellt wurden. Schwerpunkte waren Autobahnen und grenzüberschreitende Bahnverbindungen in Süd- und Westdeutschland. Die Maßnahmen stützen sich auf polizeiliche Informationen und Erkenntnisse aus früheren Einsätzen. Vor ähnlichen, von Zollbehörden durchgeführten Operationen wurden laut dem Bundesinnenministerium auch Anwendungen der « Open Source Intelligence » eingesetzt, also das Ausspähen offener Informationen im Internet. Mit Data-Mining-Verfahren wurden Informationen aus dem Internet oder Polizeidatenbanken abgeglichen.

In Deutschland wird nach dem Wegfall der Grenzanlagen zwischen den Mitgliedstaaten vor allem entlang der Binnengrenzen und in Zügen kontrolliert. Derartige Kontrollen sollen laut dem« Schengener Grenzkodex » anlass- und personenunabhängig sein, werden von Betroffen und Bürgerrechtsgruppen aber häufig als rassistisch kritisiert: Denn in den allermeisten Fällen werden Personen aufgrund der Hautfarbe ausgewählt. Ein solches « racial profiling » ist jedoch nach internationalen Rechtsnormen untersagt und auch deutschen Polizeibehörden verboten.

« Schengener Grenzkodex » auf Druck von Deutschland mehrfach eingeschränkt

Die nun zur Regel gewordenen « Gemeinsamen Polizeioperationen » höhlen den « Schengener Grenzkodex » weiter aus. Dort heißt es, dass die Grenzen an jeder Stelle ohne Anhalt überschritten werden dürfen. Die Staatsangehörigkeit der Reisenden darf dabei keine Rolle spielen. Die Schengen-Mitgliedstaaten sind verpflichtet, alle Verkehrshindernisse an den Binnengrenzen zu beseitigen. Nur im Falle einer schwerwiegenden Bedrohung der öffentlichen Ordnung oder inneren Sicherheit dürfen die Kontrollen temporär wieder eingeführt werden. Bislang war das nur bei besonderen polizeilichen Maßnahmen möglich, darunter die Sicherung von Sportereignissen oder Gipfeltreffen.

Vor zwei Jahren haben sich Deutschland und Frankreich erfolgreich dafür eingesetzt, die Kontrollen der Binnengrenzen auch bei « erheblichen Defiziten beim Schutz der Schengen-Außengrenzen »einführen zu dürfen (Die verbriefte Reisefreiheit innerhalb der EU ist Geschichte). Die Regelung ist gegen Italien und Griechenland gerichtet und ab diesem Herbst gültig. Sie soll greifen, wenn über die Länder zu viele Migranten einreisen. Ob und in welchen Fällen die deutsche Regierung davon Gebrauch machen will, ist unklar. Bei mehreren Gelegenheiten hat das Bundesinnenministerium jedoch diesen Sommer auf Defizite der italienischen Migrationskontrolle hingewiesen. Moniert wird, dass nicht alle der in Booten über das Mittelmeer Einreisenden ihre Fingerabdrücke abgeben müssen.

Auch die EU-Grenzagentur FRONTEX ist gewöhnlich an den « Gemeinsamen Polizeioperationen » beteiligt, allerdings nur am Rande. Denn die Behörde ist eigentlich für die Sicherung der EU-Außengrenzen zuständig, Einsätze innerhalb der EU-Mitgliedstaaten sind (außer an Flughäfen) untersagt. FRONTEX erstellt aber regelmäßige Risikoanalysen, in denen Migrationsströme festgestellt, bevorzugte EU-Zielländer ermittelt und Prognosen entworfen werden. Diesmal ist FRONTEX als vollwertiger Partner an Bord. Verstärkte Kontrollen an den Außengrenzen der Europäischen Union werden mit Daten aus dem EU-Inland abgeglichen. So sollen gängige Migrationsrouten, aber auch Fluchthelfer ermittelt werden. In EU-Dokumenten ist hierzu gewöhnlich von « Schleusern » die Rede, die wegen organisierter Kriminalität verfolgt werden.

Wasserschutzpolizeien und Verkehrspolizeien vernetzen sich ebenfalls

Nachdem die EU, allen voran Italien, die Überwachung des Mittelmeers aufrüstet, weichen viele Migranten wieder auf Landwege über Marokko oder Griechenland aus. Einer der zukünftigen « Hot Spots » soll laut FRONTEX Bulgarien sein, auch das Schwarze Meer würde zunehmend eine Rolle spielen. Das mag ein Grund dafür sein, warum sich Frankreich, Deutschland und die Niederlande weiterhin gegen die Schengen-Vollanwendung für Rumänien und Bulgarien wehren – denn dann würden auch die dortigen Kontrollen der Binnengrenzen wegfallen.

Mittlerweile kommen die EU-weiten Operationen auch bei anderen Kooperationen der Sicherheitsbehörden in Mode. Ähnlich wie die Grenzpolizeien organisieren sich auch die Wasserschutzpolizeien der Mitgliedstaaten im Netzwerk « AQUAPOL », die Verkehrspolizeien sind in « TISPOL » zusammengeschlossen. An Flughäfen tätige Polizeien sind im Netzwerk « AIRPOL » tätig. Meist sind die Maßnahmen der Netzwerke an der gewöhnlichen Arbeit ausgerichtet, etwa die Kontrolle von Wasserstraßen oder illegaler Müllbeseitigung. Immer werden aber auch unerwünschte Migranten aufgespürt. Im Netzwerk der Eisenbahnpolizeien « RAILPOL » will Italien jetzt gemeinsame Standards für Kontrollen von Personen und Gepäck in Zügen entwerfen.